Oui, seize années de passion, toutes gravées dans le marbre souple du Prix-Jacques-Goddet! Et, maintenant, place à la dix-septième édition…
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
Deux tables et d’impérieuses distanciations sanitaires. Pour la deuxième année consécutive, le Prix Jacques-Goddet, accueilli au siège d’Amaury Sport Organisation et du quotidien L’Équipe, s’adapte à la terrible pandémie qui continue de laminer le monde.
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En l’absence exceptionnelle de Christian Prudhomme, Jean-Marie Leblanc a repris la plume pour signer un à un les portfolios de la dix-septième édition. « C’est une petite fierté dont je veux m’honorer, écrit-il justement : la création d’un Prix Jacques-Goddet chargé de récompenser chaque année le meilleur article de presse écrit en langue française sur le Tour de France. »
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Jacques Goddet vu par l’artiste italienne Camilla Adami. Elle est la première femme à réaliser le portrait annuel qui a ensuite été tiré en lithographie, à Paris, dans l’atelier À Fleur de Pierre par Laurence Lépron et Étienne de Champfleury.
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Un renfort de prestige pour le Prix Jacques-Goddet et un hôte attentif. Jean-Étienne Amaury, président du groupe familial éponyme, accueille Olivier Galzi, vice-président d’Edeis l’Allié des territoires, partenaire financier associé au Prix, comme il a accueilli Christophe Penot, l’organisateur, et Vincent Coté, invité ès qualités de cette édition.
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Laurent Lachaux, directeur commercial et marketing d’Amaury Sport Organisation, et Philippe Sudres, directeur du service de presse d’Amaury Sport Organisation, ont retrouvé Jean-Marie Leblanc, le fidèle ami. À droite, on peut reconnaître Fabienne Dalla Serra, ancienne collaboratrice de Jean-Marie Leblanc, qui a tant de fois ouvert les agendas pour permettre des miracles d’organisation, chaque année réitérés.
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Bienvenue, cher Marc Lambron. Laurent Lachaux s’est fait un bonheur d’accueillir celui qui va présider, avec un formidable brio, les destinées du Jury du 17e prix Jacques-Goddet.
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Histoires d’hommes et histoires de presse. Avant le départ (imminent) du prochain Tour de France, un long échange entre Vincent Coté, rédacteur en chef délégué aux sports du quotidien Ouest-France, et Philippe Sudres, qui accueillera en salle de presse des journalistes venus du monde entier.
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Christophe Penot et Jean-Étienne Amaury, heureux hôtes. Ils reçoivent Isabelle Roche, directrice du développement culturel du groupe Edeis l’Allié des territoires, venue siéger pour la deuxième fois au sein du Jury.
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Un rayon de soleil pour éclairer la terrasse en ce mois de juin humide comme jamais. Olivier Galzi, Jean-Étienne Amaury, Isabelle Roche et Jean-Marie Leblanc y ont vu la promesse d’une belle soirée…
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Un invité surprise ! Membre du Conseil de surveillance du groupe Edeis l’Allié des territoires, mais aussi président de l’Assemblée des départements de France et président du département de la Charente-Maritime, Dominique Bussereau est venu en ami saluer Jean-Marie Leblanc et les jurés du 17e Prix Jacques-Goddet.
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Aimables conciliabules en terrasse, en attendant Édouard Philippe. De groupe en groupe, on peut reconnaître Dominique Bussereau et Jean-Marie Leblanc, Isabelle Roche, Olivier Galzi, Jean-Étienne Amaury et Christophe Penot, Fabienne Dalla Serra, Vincent Coté et Philippe Sudres, Laurent Lachaux et Marc Lambron.
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Il est là ! Sous le regard de Christophe Penot et d’Oliver Galzi, Jean-Étienne Amaury accueille Édouard Philippe, ancien Premier ministre et maire du Havre, invité d’honneur du 17e Prix Jacques-Goddet.
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Trois hommes masqués dans les couloirs de L’Équipe, où bat le cœur de la presse sportive française. Jean-Étienne Amaury, Oliver Galzi et Édouard Philippe ont déjà lancé les débats.
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« Bonsoir M. le Premier ministre ! » Entre Fabienne Dalla Serra et Philippe Sudres, Vincent Coté, invité ès qualités, salue Édouard Philippe, invité d’honneur.
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Une photographie juste pour lui ! Tous deux membres du Conseil d’État, Marc Lambron et Édouard Philippe s’honorent d’une longue amitié.
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Solidaires et masqués sur la terrasse et sous le ciel de Paris. Pour ce qui restera comme la photographie officielle du 17e Prix Jacques-Goddet, on s’efforce de reconnaître, de gauche à droite, Christophe Penot, Jean-Étienne Amaury, Isabelle Roche, Marc Lambron, Édouard Philippe, Olivier Galzi, Philippe Sudres, Laurent Lachaux, Jean-Marie Leblanc, Dominique Bussereau et Vincent Coté.
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Passion d’art. Aux côtés d’Olivier Galzi, Christophe Penot présente à Édouard Philippe la lithographie de Camilla Adami spécialement tirée sur Vélin BFK Rives, à vingt-cinq exemplaires numérotés et signés, pour le Prix Jacques-Goddet.
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Dix-sept artistes, déjà, ont salué à leur façon la mémoire de Jacques Goddet. Un décor très muséal pour Édouard Philippe et Jean-Étienne Amaury.
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« Messieurs les jurés, le débat est ouvert ! » La parole est bien sûr à Marc Lambron, président du Jury, studieusement écouté par Laurent Lachaux.
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Lu, relu, noté, annoté ! Marc Lambron a passé les vingt et un articles candidats au travers des mailles serrées de son vigilant tamis.
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Philippe Sudres veut d’abord en témoigner : un grand cru que ce dix-septième millésime. Avec notamment trois articles qu’il entend défendre d’arrache-pied !
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« Oui ! un grand cru », confirme Laurent Lachaux. Et lui aussi de mettre en avant les différents articles qu’il préfère.
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« Homme de presse un jour, homme de presse toujours », a prévenu Olivier Galzi, ancien présentateur des journaux télévisés, aujourd’hui vice-président du groupe Edeis l’Allié des territoires. Avec le goût de découvrir, dans chaque article, des vies de champions qu’il ne connaissait pas…
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Isabelle Roche et Vincent Coté à l’écoute. Tous deux défendront avec passion leurs propres préférences.
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Les arguments des uns, les arguments des autres… Olivier Galzi et Édouard Philippe en prennent bonne note.
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Jean-Étienne Amaury prend la main. Isabelle Roche, son tour venu, ne manquera pas de répondre.
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Sérieux et bonne humeur, suivant la tradition du Jury. Philippe Sudres, Jean-Marie Leblanc et Laurent Lachaux s’en donnent à cœur joie !
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Le bonheur d’une académie où l’on travaille, où l’on échange, où l’on confronte et où l’on rit. « J’aurai passé une très belle soirée », soufflera Édouard Philippe.
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Démocratie participative. De concert avec Jean-Étienne Amaury, Christophe Penot rassemble les bulletins de vote d’Édouard Philippe, d’Isabelle Roche, de Vincent Coté et des autres !
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Marc Lambron annonce, Christophe Penot note, Philippe Sudres, Jean-Marie Leblanc et Laurent Lachaux enregistrent. La vie classique d’un jury.
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Le président du Jury Marc Lambron à la relance. Seulement quatre articles, de Christophe Bérard (Le Parisien), Mickaël Caron (Le Journal du Dimanche), Gilles Comte (Vélo Magazine) et Alexandre Roos (L’Équipe), sont désormais en lice.
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Parfait « synchronisme » entre Édouard Philippe et Jean-Étienne Amaury ! Ou l’art, selon le dictionnaire, de réfléchir de la même manière, en même temps.
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Veillée d’armes avant un troisième tour qui opposera Gilles Comte et Alexandre Roos, soutenus chacun par cinq jurés. Jean-Étienne Amaury, Édouard Philippe et Jean-Marie Leblanc ont déjà réouvert leur dossier d’articles.
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Sous le regard de Jean-Étienne Amaury, Vincent Coté relance les débats. Mais Marc Lambron tient à lui donner la réplique !
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Cas de conscience pour Jean-Marie Leblanc. Faut-il voter pour le « Poulidor » de Gilles Comte ou pour le « Chavirement » d’Alexandre Roos ?
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Pour qui va-t-il voter ? Juré très écouté, Édouard Philippe défend une certaine idée du cyclisme sous les yeux de Philippe Sudres, Jean-Marie Leblanc, Laurent Lachaux, Olivier Galzi et Jean-Étienne Amaury.
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Dix bulletins de vote, mais, toujours, une parfaite égalité des voix après le troisième tour de scrutin! Conformément au règlement, Marc Lambron fera jouer sa voix de président du Jury qui compte double.
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« Allo ! Monsieur Comte. Généralement, quand je téléphone, c’est rarement pour annoncer de bonnes nouvelles. Mais, ce soir, j’ai le plaisir, etc… » Regardé (et filmé), Édouard Philippe, en compagnie de Laurent Lachaux, d’Olivier Galzi et de Christophe Penot, est le premier à féliciter l’heureux lauréat.
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Le dernier mot revient au président du Jury. Marc Lambron ou la double voix : celle du cœur et des convictions.
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Quand un ciel bas et lourd… Mais, en ce 14 juillet 2021, au Village du Tour de France, à Muret, rien n’empêchera la remise joyeuse du 17e Prix Jacques-Goddet, en direct et sur grand écran.
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Marc Chavet, le speaker-départ du Tour de France, a passé le micro à Christophe Penot. Pour l’organisateur, c’est le moment de remercier à la fois Amaury Sport Organisation et le groupe Edeis l’Allié des territoires pour leur dévouement attentif à la cause du Prix Jacques-Goddet.
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« Nous avions le choix entre un très bel instantané et un moment d’éternité. Finalement, le Jury s’est rallié à cette idée d’éternité », explique Olivier Galzi. Un homme de presse et de télévision, devenu vice-président du groupe Edeis l’Allié des territoires.
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Sous les yeux de Marc Chavet, Christophe Penot, Gilles Comte, Laurent Lachaux et Olivier Galzi, Christian Prudhomme l’annonce avec force : « Ce 14 juillet, c’était la meilleure date pour remettre le 17e Prix Jacques-Goddet. Parce que l’étape du jour va se terminer sur les hauteurs de Saint-Lary-Soulan, là où Raymond Poulidor a signé sa dernière victoire sur les routes du Tour. Et parce que le papier primé était justement un papier consacré à André Poulidor, le frère de Raymond ». Tout est dit.
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« Merci, Gilles, de nous avoir emmenés si haut et si loin dans le passé », semble apprécier Christian Prudhomme. Est-il besoin de rappeler que le directeur du Tour de France, inépuisable lecteur de journaux, a, lui aussi, commencé sa carrière dans la presse, à la radio et à la télévision…
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Le moment tant attendu. Gilles Comte reçoit, des mains d’Olivier Galzi et de Christian Prudhomme, le portfolio d’art récompensant le lauréat du 17e Prix Jacques-Goddet.
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Gilles Comte, 58 ans, rédacteur en chef de Vélo Magazine. Une sorte d’habitué des podiums déjà consacré par deux Prix Pierre-Chany et le Prix Jacques-Goddet qu’il reçoit ici pour la deuxième fois.
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Christophe Penot, Olivier Galzi, Laurent Lachaux et Christian Prudhomme entourent Gilles Comte pour ce qui restera comme la photographie officielle de la 17e remise du Prix Jacques-Goddet. Quatre jurés, un lauréat.
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L’invincible passion de Gilles Comte. Il raconte comment il a retrouvé à Saint-Léonard-de-Noblat, où passaient les coureurs du Tour de France 2020, la trace d’un ancien bon coureur amateur qui s’appelait André Poulidor…
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« Vous nous avez émus comme un vieil oncle qui transmet une mémoire », écrivait Gilles Comte à la fin de son article primé. Sous les applaudissements de Christophe Penot, Olivier Galzi, Laurent Lachaux et Christian Prudhomme, Gilles Comte dédie son prix à la mémoire d’André Poulidor, décédé au printemps.
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La remise du 17e Prix Jacques-Goddet côté jardin. C’était à Muret, le 14 juillet 2021, sur le podium du Village du Tour de France.
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Il va sans dire que Jacques-Goddet aurait été fier de lui… Et selon sa formule (car pour le fondateur de L’Équipe, tout le monde était « vieux »), il n’aurait pas manqué de lui glisser à l’oreille : « Bravo, mon vieux ! »
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