Suivant la tradition d’accueil chère au Tour de France, tout est prêt pour recevoir le jury du 3e Prix Jacques-Goddet. Il se rassemble sous les lumières douces du salon Marat, à l’étage du restaurant Le Procope, où venaient jadis Voltaire et Rousseau.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Ultimes révisions pour Sophie Moressée-Pichot et Daniel Isaac, les deux jurés partenaires, ainsi que pour Christophe Penot et Philippe Sudres. Sous le regard complice et bienveillant de Jean-Marie Leblanc, le directeur du Tour de France.
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Christophe Penot, l’organisateur, et Rosine Goddet accueillent Jean-Louis Debré, leur invité d’honneur. Dans la logique de la longue amitié qui a toujours lié la marraine du Prix et le président de l’Assemblée nationale.
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Un invité d’honneur joyeusement attendu ! Il est dans la vocation du Prix Jacques-Goddet de faire rimer honneur et bonne humeur…
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Des rires, encore ! Ici, il faut y voir la vieille complicité entre le Tour de France et la banque du célèbre maillot jaune.
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Huit votants pour une édition inoubliable, malgré l’absence de Jean-Marie Tasset, président du jury, empêché en dernière minute. « Ils sont formidables, tes copains ! », confiera Jean-Louis Debré à Rosine Goddet avant d’inviter, pour une autre soirée mémorable, l’ensemble du jury à sa table de l’Assemblée nationale.
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Jean-Louis Debré dans le décor typographique du salon Marat. Un endroit privilégié pour y parler des articles et de leurs auteurs.
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Jeux de mines entre Philippe Sudres, le directeur du service de presse du Tour de France, et Jean-Louis Debré. Henri Montulet, le rédacteur en chef de La France Cycliste, au bout de la table, n’est pas le dernier à en rire.
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Rosine Goddet, Jean-Louis Debré, Jean-Marie Leblanc côte à côte. Les débats sont lancés, qui aboutiront à désigner le lauréat du 3e Prix Jacques-Goddet.
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Jean-Louis Debré donne la réplique. Sous le regard attentif de Daniel Isaac, l’un des deux jurés partenaires de cette nouvelle édition.
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Henri Montulet attentif et serein. Fort de trois années d’expérience, il attend son heure pour faire avancer les débats.
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Philippe Sudres a réclamé la parole. Il tient à la main sa longue liste d’arguments.
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« J’irai moi-même remettre le Prix au lauréat, à Morlaix, dans son journal, devant ses confrères », avait prévenu Jean-Louis Debré. Promesse tenue le 11 janvier 2007, quand Édouard Coudurier, directeur du Télégramme, a l’immense plaisir de présenter son journaliste lauréat, Jérôme Le Gall, au président de l’Assemblée nationale.
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Pleins feux sur le portfolio du 3e Prix Jacques-Goddet refermant l’épreuve unique sur Japon nacré signée par Ernest Pignon-Ernest. Derrière, écoutant les discours, on reconnaît Jean-Marie Tasset, chef du service « Arts » au Figaro, Jean-Marie Leblanc, le directeur du Tour de France, et Christophe Penot, l’organisateur du Prix.
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Sophie Moressée-Pichot, Édouard Coudurier, Michel Dalloni, le directeur de la rédaction de L’Équipe, Jean-Marie Tasset, Jean-Marie Leblanc, Christophe Penot, Jérôme Le Gall et Marcel Quiviger entourent Jean-Louis Debré. Avec une chaleur non feinte, le président de de l’Assemblée nationale les gratifie d’un vibrant hommage à la presse quotidienne régionale, si nécessaire à la démocratie en province.
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Aux côtés de Marcel Quiviger, directeur de la rédaction du Télégramme, Jean-Marie Leblanc est venu lui aussi spécialement de Paris pour saluer la presse quotidienne régionale. Et honorer cet excellent compagnon du Tour qui a pour nom Jérôme Le Gall.
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Le moment tant attendu. Avec le soutien du président de l’Assemblée nationale, Sophie Moressée-Pichot, la championne olympique, représentant la banque LCL – Le Crédit Lyonnais, remet à Jérôme Le Gall le portfolio récompensant le lauréat du 3e Prix Jacques-Goddet.
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La traditionnelle photographie souvenir. Un moment inoubliable pour le lauréat, journaliste de sports fidèle au Télégramme depuis près de trente ans.
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Jérôme Le Gall ému et logiquement fier. On s’en voudrait de ne pas souligner que ce 3e Prix Jacques-Goddet récompense, comme l’a rappelé Jean-Marie Leblanc, non seulement un professionnel chevronné, mais aussi l’un des plus aimables des confrères accrédités sur le Tour de France.
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Au pays des Gaules, tout se termine par un banquet ! Nos amis du Télégramme n’y ont pas manqué.
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