La table du 9e Prix Jacques-Goddet. Pour la circonstance, chaque juré trouvera, spécialement dédicacé, le dernier roman de Didier Decoin, Une Anglaise à bicyclette — de circonstance, évidemment !
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Un invité de marque : Didier Decoin, président du jury de ce 9e Prix Jacques-Goddet et lui-même fils d’un des premiers compagnons du Tour de France, le reporter-cinéaste Henri Decoin. Jean-Marie Leblanc et Christophe Penot, l’organisateur, s’en réjouissent à l’avance.
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Autres retrouvailles sous le regard d’Henri Montulet, le rédacteur en chef de La France cycliste, et de Christian Prudhomme : celles entre Jean-Marie Leblanc et de Bernadette Chirac. L’ancien directeur du Tour de France et l’ancienne première Dame de France dînaient ensemble au château de Bity, lorsque le Tour de France faisait escale en Corrèze.
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Passion d’éditeur d’art… Christophe Penot fait découvrir à Bernadette Chirac l’estampe spécialement réalisée par le peintre islandais Erró pour le 9e Prix Jacques-Goddet.
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La traditionnelle photographie du jury dans l’escalier du Procope. Un bonheur particulièrement goûté lors d’une édition enfin plus féminisée qu’à l’ordinaire !
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Tous les regards sont tournés vers Bernadette Chirac. Par sa seule présence, mais aussi par de très nombreux souvenirs, elle confirme que le Tour peut être regardé comme le premier ambassadeur de la France à l’étranger.
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Deux amies fidèles, deux passionnées de la langue française. Rien ne manque pour que les jurés partagent, aux côtés de Rosine Goddet et de Bernadette Chirac, une édition exceptionnelle.
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Conciliabule ! Sans doute Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, essaie-t-il de rallier à ses choix Frédéric Ebling, Laurent Lachaux et Henri Montulet.
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De ce côté de la table, c’est Rosine Goddet qui donne la mesure ! Sur les visages de Jean-Marie Leblanc, de Catherine Besançon, invitée ès qualités, de Christophe Penot et de Philippe Sudres, on peut lire autant d’étonnement que de jubilation.
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« Une phrase longue comme cela ! », semble vouloir expliquer Christian Prudhomme à Didier Decoin, ancien lauréat du Prix Goncourt. À gauche, Henri Montulet préfère ne pas écouter !
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Eux aussi ont l’air de beaucoup s’amuser ! Entre deux lectures du dossier des articles candidats, Bernadette Chirac a partagé quelques confidences avec Frédéric Ebling et Laurent Lachaux.
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Une curiosité de bon aloi. Avant d’y apposer sa propre signature, Bernadette Chirac tourne le pages du Livre d’or qui conserve la mémoire du Prix Jacques-Goddet.
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« Le Prix Jacques-Goddet récompense chaque année le meilleur article écrit en langue française pendant le Tour de France. Il veut symboliser le talent de la presse et marquer l’indéfectible attachement d’Amaury Sport Organisation à la tradition écrite de la Grande Boucle », a martelé Christian Prudhomme. C’était sur le podium du Village du Tour, le vendredi 12 juillet 2013, lorsque le Tour, par une jolie homophonie, faisait escale à Tours !
© Cristel Éditeur d’Art / ASO / Bruno Bade
Frédéric Ebling fait écho. Directeur des affaires publiques du groupe Carrefour France, il redit au lauréat Gilles Comte son bonheur d’associer le nom du premier employeur privé de France au Prix Jacques-Goddet, indissociable maillon de la grande chaîne formée par la francophonie.
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Arrêt sur image. Avant la reprise des discours, Frédéric Ebling, Bernard Thévenet, Gilles Comte, Christophe Penot, Bernard Hinault, Christian Prudhomme et Jean Germain, le maire de Tours, laissent les photographes immortaliser ce moment.
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« Merci Monsieur Carrefour ! », s’exclamera Gilles Comte dans un bel hommage. Ancien et futur rédacteur en chef de Vélo Magazine, il est de ceux qui savent qu’on ne réussit jamais rien sous le soutien de fidèles partenaires.
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Quel chemin pour en arriver là ! Déjà deux fois lauréat du Prix Pierre-Chany, mais deuxième du Prix Jacques-Goddet 2011, Gilles Comte exprime son plaisir de monter sur la plus haute marche du podium.
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Un bonheur presque lourd à porter ! À hauteur des photographes, Gilles Comte, lauréat du 9e Prix Jacques-Goddet, ouvre très largement un portfolio qui permet d’admirer l’œuvre d’Erró, star mondiale de la peinture contemporaine.
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Il a toujours dit et écrit qu’il était devenu journaliste par admiration pour Bernard Thévenet et Bernard Hinault. Les deux champions, fidèles amis du Prix Jacques-Goddet, ont tenu à entourer Gilles Comte.
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Les trois derniers lauréats, Jean-François Quénet, Jean-Luc Gatellier et Gilles Comte, commentent l’estampe d’Erró en compagnie de l’organisateur et éditeur d’art Christophe Penot. Frédéric Ebling sait déjà qu’elle a été tirée chez Clot, Bramsen & Georges, dans le plus vieil atelier lithographique du monde !
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